Émotion et Alimentation : Nourrir son Bien-Être Intérieur

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Harmonie Émotionnelle : Nourrir le Corps, Apaiser l'Esprit pour un bien-être général,

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Dans l’effervescente  de la vie moderne, notre bien-être émotionnel joue un rôle central,  notre alimentation a un rôle crucial dans ce bien-être émotionnel.
Notre nourriture impacte notre corps et surtout notre esprit.

Souvent négligé, cet équilibre fragile entre humeur et émotion est profondément lié à notre alimentation quotidienne.
En explorant les méandres du microbiote, les nuances des choix alimentaires et l’influence des produits transformés.
Plongeons dans l’intime relation entre ce que nous mangeons et la danse complexe de nos neurotransmetteurs.

Un voyage où les bactéries intestinales deviennent les chefs d’orchestre de notre humeur, et où la sérotonine, le messager du bonheur, est façonnée par chaque bouchée. Bienvenue dans le monde où la nourriture devient une médecine pour l’esprit.

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Le microbiote Intestinal et l'équilibre émotionnel :

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Voilà un voyage où les bactéries intestinales deviennent les chefs d'orchestre de notre humeur, et où la sérotonine, le messager du bonheur, est façonnée par chaque bouchée. Bienvenue dans le monde où la nourriture devient une médecine pour l'esprit. (suivre le lien )

Notre ventre, souvent appelé notre « deuxième cerveau », héberge un écosystème complexe de bactéries appelé microbiote intestinal. Ce microbiote joue un rôle crucial dans la communication entre l’intestin et le cerveau, influençant directement notre humeur et nos émotions. Un microbiote équilibré est la clé d’une stabilité émotionnelle.

L’Impact des aliments sur le microbiote et les émotions :

Ce que nous mettons dans notre assiette a un impact direct sur la santé de notre microbiote. Les aliments riches en fibres, en probiotiques et en prébiotiques favorisent un environnement intestinal sain, tandis que les aliments transformés et riches en sucres peuvent perturber cet équilibre, entraînant des fluctuations émotionnelles.

Les neurotransmetteurs, la sérotonine et le bien-être émotionnel :

La sérotonine, souvent appelée l’hormone du bonheur, est un neurotransmetteur essentiel à la régulation de l’humeur. Une alimentation équilibrée, riche en acide aminé tryptophane, favorise la production de sérotonine, contribuant ainsi à un état émotionnel stable. Nous pensons que tout se passe dans la tête … mais 80 % de la sérotonine se créer dans l’intestin.

Aliments qui favorisent la production de sérotonine:

Certains aliments sont des alliés naturels pour stimuler la production de sérotonine. Les poissons gras, les noix, les graines, les légumineuses et les fruits, légumes, le persil frais sont des choix judicieux pour soutenir votre bien-être émotionnel. Intégrez-les dans votre alimentation quotidienne.

Aliments nuisibles pour le bien-être émotionnel :

Évitez les pièges alimentaires qui peuvent saboter votre équilibre émotionnel. Les sucres ajoutés, les graisses saturées, les aliments transformés et surtout les aliments riches en gluten qui perturbent le fonctionnement intestinal et ainsi compromettre la production de sérotonine, laissant place à des fluctuations émotionnelles indésirables.

Conseils pratiques pour une alimentation Émotionnellement Équilibrée :

  • Priorisez les aliments riches en nutriments, les jus de légumes frais sont une source de bons nutriments pour nos bonnes bactéries intestinales.
  • Intégrez des repas équilibrés dans votre routine quotidienne.
  • Adoptez une approche consciente de l’alimentation.
  • Hydratez-vous suffisamment surtout en dehors des repas.
  • Considérez des compléments alimentaires appropriés pour renforcer votre microbiote si nécessaire. 
  • La Zeolithe est un précieux allié de notre intestin, faites des cures régulièrement pour purifier votre intestin et maintenir un bon équilibre bactérien. 

    Conclusion :

    L’harmonie émotionnelle est un voyage qui commence dans l’assiette. En nourrissant notre corps avec soin, en cultivant un microbiote sain et en favorisant la production de sérotonine, nous sommes les artisans de notre bien-être émotionnel. Adoptez une approche consciente de l’alimentation, et laissez la sagesse de votre ventre guider votre chemin vers la sérénité.

L’Ail des ours, une merveilleuse plante sauvage

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L’ail des ours, ou ail sauvage est une plante sauvage exquise, qui contient beaucoup de vitamine C.

Cette merveilleuse plante sauvage est une plante vivace à bulbe qui pousse dans les sous-bois de hêtres et de chênes et dans la fraîcheur des ruisseaux et des rivières le frais.
Ses fleurs sont blanches en forme d’étoile.

Ma video de la cueillette d’ail des ours et la fabrication du pestou ici!

Une histoire ancienne dit que l’ail des ours sort de terre en même temps que l’ours de son hibernation, et que celui-ci s’en régale. Car c’est un dépuratif de choix pour nettoyer son organisme.

Les vertus de l’ail des ours

Les feuilles de l’ail des ours contiennent beaucoup de vitamine C, ce qui donne à la plante des vertus toniques, pour l’équilibre des pathologies cardio-vasculaires, des diarrhées, contre les vers intestinaux.
L’ ail des ours est utilisé pour faire baisser la pression artérielle, pour stimuler la circulation sanguine.
Il est recommandé en cas d’athérosclérose, d’arthrite, de rhumatismes.
Il est efficace pour les problèmes intestinaux comme les maux d’estomac et les ballonnements.
Il facilite la digestion, dégage les voies respiratoires, pour les problèmes chroniques de peau, un amincissant et un régulateur gastro-intestina

C’est donc une plante :

  • dépurative et amincissante ;
  • vermifuge : l’ail des ours combat les vers blancs, parasites de l’intestin (oxyures) ;
  • hypolipémiante, c’est-à-dire qui diminue le taux de mauvais cholestérol ;
  • vasodilatateur des coronaires ;
  • anti-hypertenseur en diminuant la pression sanguine ;
  • anti-agrégante (freine l’agrégation des plaquettes) ;
  • régulatrice du système gastro-intestinal
  • antifongique : combat les champignons comme le Candida albicans ;
  • antibactérienne et antivirale, elle aide à lutter contre la grippe ;
  • expectorante pulmonaire ;
  • aide le foie à détoxifier 
  • légèrement hypoglycémiante,
  • antioxydante : elle protège les cellules du stresse oxydatif dans le cas de certaines maladies et dans le vieillissement

     Cuomment tiliser l’ail des ours en cuisine

    Une saveur plus fine et douce que l’ail, faisant penser à l’oignon ou la ciboulette, émerveille  nos sens.

  • Servez-vous en pour aromatiser votre sel, préalablement déshydraté et réduite en poudre ajouter du sel fin.
  • Pour aromatiser du vinaigre : hachez des feuilles et laissez-les macérer dans du vinaigre de cidre. Après deux semaines, filtrez, puis versez dans des bouteilles.
  • Pour préparer un pesto : mixez des feuilles avec de l’huile d’olive et du sel pour obtenir une épaisse pâte.voir la vidéo !
  • Cueillez les feuilles avant la floraison, car lorsque le bouton s’ouvre, elles perdent leur saveur Récoltez les boutons floraux comme des câpres sauvages pour préparer des boutons d’ail des ours au vinaigre.Si vous avez d’autres suggestion merci de partager !
    Bon appétit

Utilisation et posologie de l’ail des ours

Dosage

      • Le bulbe est utilisé dans des teintures, sirops, décoctions, cataplasmes.
      • Consommé cru, il permet de conserver un maximum de vitamine C.
      • Broyé dans du lait, le bulbe sert de vermifuge. Il sert d’antiseptique intestinal en stoppant les fermentations et en aidant à la normalisation de la flore intestinale.
      • Nous pouvons aussi utiliser le bulbe contre les maladies de peau, l’eczéma et les furoncles.
      • L’essence est utilisée comme rubéfiant sur les rhumatismes mais aussi comme désinfectant de l’air intérieur.
      • Les feuilles fraîches peuvent être ajoutées à des préparations culinaires pour lutter contre les diarrhées chroniques et aiguës, mais aussi pour lutter contre la constipation due à des crampes internes.
      • Les feuilles doivent être récoltées juste avant la floraison, car elles jaunissent très vite.
      • L’essence d’ail des ours peut être utilisée en friction contre les rhumatismes. Il convient de faire macérer 30 g d’ail écrasé dans 25 cl de vinaigre de vin durant une dizaine de jours.
      • En usage externe, les gousses d’ail des ours pliées font disparaître les cors, les durillons et les verrues.
      • Sous forme de gélules, il facilite la digestion, aide à faire baisser la pression artérielle et stimule la circulation sanguine (luttant ainsi contre les jambes lourdes).
      • En infusion, il facilite la digestion et est aussi un remède contre les ascaris.

 

L’alimentation vivante: une vrai régénération

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L' alimentation vivante, Une mode ?

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L’alimentation vivante est-elle une mode, ou une nouvelle lubie de certains  « crudi » ?

Non pas du tout , certains écrits Esséniens (>2000 ans) parlent deja de nourriture crue, vivante.  Il en  reste d’ailleurs « le pain essénien »  pain cru trés connu pour ses valeurs nutritionnelles incomparables.

l’alimentation vivante est une véritable source de nutriments indispensables à une bonne régénération.

Quelques centaines d’années auparavant, Hyppocrate, le Père de nos médecins , prônait l’alimentation vivante: 

« Fais de ta nourriture ton médicament et ton médicament sera ta nourriture »

Nous sommes ce que nous mangeons »

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les grands principes de l'alimentation vivante

Les objectifs

  • Favoriser l’élimination des déchets qui s’accumulent dans l’organisme.
  • Prévenir de certaines maladies, en alléger les symptômes, voire même arriver à les guérir…
  • Vivre plus longtemps,  oui mais en bonne santé.
  • Vivre en pleine conscience de qui nous sommes et dans le respect de ce que nous sommes : des Etres Humains vivants libres et conscients.

Pourquoi favoriser une alimentation vivante

En alimentation vivante on utilise principalement des aliments crus, de préférence biologiques, n’ayant subi aucune transformation, a part 

Bien que ce régime (dans sa version stricte) soit plutôt végétalien, (sans aliments animaux), certaines variantes de ce régime incluent les viandes et le poisson crus.)

Dans cette pratique, on adopte la plupart du temps le principe des «combinaisons alimentaires », qui consiste à ne pas mélanger certains groupes de nutriments, par exemple les protéines avec les féculents, ou les fruits sucrés avec les fruits acides.

L' alimentation alcalinisante

Plus sur l’alimentation alcaline, la fermentation et la germination…Aliments alcanisants

Après avoir été absorbée, la nourriture est oxydée et il y a formation de résidus.

Si, dans ces résidus, on retrouve en plus grande quantité des minéraux (sodium, potassium, calcium, magnésium) on les appele les « aliments alcalinisants ».

Ces aliments ont la propriété de neutraliser les autres types d’aliments dits « acidifiants».

Les aliments acidifiants produisent de l’acide urique, sulfurique, acétique, lactique et phosphorique.

Ces Aliment  alcalinisants, comme les fruits, les légumes et les germinations, contribuent à un bon équilibre acido-basique de l’organisme.

Fermentation

La fermentation est un phénomène qui transforme le sucre d’un aliment en acide lactique, en alcool ou en acide acétique (vinaigre). Cette transformation se fait grâce à des micro-organismes naturellement présents dans l’aliment, ou ajoutés. (voir l’article) 

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legumes fermentes

La fermentation est un moyen traditionnel de conservation des aliments. C’est le seul qui améliore leur valeur nutritive, leur saveur et leur digestibilité.

La fermentation lactique ou lactofermentation est celle qui est la plus intéressante du point de vue nutritionnel.

Voici des exemples d’aliments fermentés : le yoghourt, la choucroute (voir la vidéo ), le miso,  le kefir,  la bière.

 

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Graines germées.

Germination ou les graines germées 

 Une graine produit son embryon et donne naissance à une nouvelle plante.

Dans les conditions d’humidité, de chaleur et à l’abri de la lumière. 

La plus importante réaction chimique est la synthèse d’enzymes qui permet une prédigestion des glucides, des lipides et des protéines de la graine.
Puis vient la multiplication impressionnante de certaines vitamines et, finalement, la production de chlorophylle qui commence quand une petite tige voit la lumière.

En bref, la germination est une usine de prédigestion et de fabrication de nutriments.  (voir l’article)

Aliments de l'alimentation vivante

Fruits crus ou séchés
Miel non pasteurisé
Légumes crus ou lactofermentés
Légumineuses germées
Céréales germées
Pain germé
Lait de noix

Noix et graines crues ou germées
Huiles de première pression à froid
Jus frais de légumes et de germination
Aliments végétaux déshydratés (42°)
Algues

Quel est le bénéfice de l'alimentation vivante?

L’élément clé de ce régime est la conservation des enzymes, naturellement présentes dans les fruits, les légumes et les germinations, Ils sont détruites par la cuisson lorsque la température excède les 42°C.

Sans ces enzymes, ( voir article), les organes du système digestif et le pancréas auraient à suppléer en produisant eux même, les enzymes nécessaires à la digestion des aliments.

Ceci exigerait un surcroît de travail de l’organisme et une plus grande dépense énergétique, ce qui, à long terme, affaiblirait les organes internes, prédisposant l’individu aux allergies et à plusieurs maladies.

Ce concept repose sur les études du Dr Edward Howell qui affirmait que chaque être vivant possède un nombre limité d’enzymes.

De plus, l’alimentation vivante permettrait d’éviter un phénomène appelé «leucocytose digestive» (voir article) où l’organisme réagirait aux aliments cuits qu’il considérerait comme « étrangers ».

Le système immunitaire enverrait donc ses globules blancs (leucocytes) combattre ces aliments, détournant ainsi son attention des véritables envahisseurs (bactéries, virus) et prédisposant l’organisme aux infections.

Bonne régénération

Drosana 

Conseils pour une bonne flore intestinale, un bon microbiote

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La flore intestinale

La flore intestinale est la population bactérienne de l’intestin.

Nous avons un plus grand nombre des bactéries (10 puissance 14) que des cellules dans le corps (10 puissance 13).

 

Son rôle

  • Activité antitoxique plus ou moins équivalente à celle du foie. 
  • Augmente la surface absorbante de la muqueuse intestinale
  • Assure le renouvellement correct de cette même muqueuse,
  • Synthétise la vitamine K (anti- hémorragique), ainsi que la vitamine B12 (anti-anémique).
  • Aurait un rôle important dans la synthèse des autres vitamines du groupe B et des divers acides aminés.
  • Neutralise les sécrétions endogènes, (métabolites et les déchets produits par le corps.)
  •  Achève la dégradation des glucides, des lipides et des protéines
  • A un effet barrière aux bactéries étrangères, aux virus
  •  Les cellules immuno–compétentes d’un intestin sain sont « en permanente vigilance »

 

La flore intestinale compte autour de 400 familles de bactéries.

 
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Quand nous sommes en bonne santé le bol fécal est composé de :

  •  Bactéries anaérobies et lactiques (liées à l’acide lactique et non au lait) , qui constituent « la flore dominante » (plus de 90 % de la flore fécale).
    Les populations minoritaires sont maintenues en respect. C’est l’un des aspects essentiels de cet écosystème intestinal chez l’homme sain. Ces bactéries saines secrètent de H2 02 (eau oxygénée), qui est un antibiotique naturel et des lactases, enzymes indispensables à la bonne digestion des produits laitiers.
  •  Une flore « sous dominante » normale composée de bactéries aérobies » cette fois, dont les espèces sont Escherichia Coli et Entérocoques
  •  Une flore « fluctuante » pathogène, aérobie également, et hélas le plus souvent « banalisée » dans les analyses courantes, car portée par une majorité d’individus apparemment sains…
    Cette population est minoritaire.
  •  Des levures et des champignons, opportunistes également, et pourtant fort répandus à notre époque.. Les flores fongiques (candidoses), s’attaquant à la muqueuse digestive touchent un individu sur deux, et sept individus sur dix pour la muqueuse génitale, (eczémas et autres dermites). Candida et des urticaires, de l’acné rosacé, les oedèmes de Quincke, des conjonctivites, des aphtes, des allergies respiratoires (10% des cas), gastrites (les souches remontent du colon vers l’estomac et résistent aux sucs gastriques pourtant très agressifs !), céphalées et migraines, des fatigues chroniques, et même des tachycardies, des manifestations urinaires ressemblant à des cystites à colibacillose, et enfin des manifestations articulaires, évoquant des gonarthrites (des douleurs des genoux).
  •  Des parasites enfin, des amibes et aussi des flagelles. Un adulte sur trois est porteur de parasites intestinaux, et deux enfants sur trois y trouvent l’origine de leurs troubles de comportement, de leur difficulté de croissance, ou de leur pathologie infectieuse à répétition.

Causes des dégradations intestinales

  •  Raffinage des aliments (céréales, sucre…)
  •  Les cuissons abusives, ou systématiques
  • Mauvaises mastication des aliments crus.
  • Les carences alimentaires
  •  L’insuffisance d’eau 
  •  L’abus des protéines, notamment animales
  •  Consommation régulière de charcuteries, abats, gibiers et crustacés
  •  Les excès lipidiques
  •  Les excès d’excitants (café, thé, cacao, chocolat, guarana, coca…), d’alcool, d’épices, de lait de vache, de sucre industriel, de gluten
  •  Chez l’enfant, l’impossibilité (ou le choix) d’un allaitement au sein
  •  Facteurs médicamenteux : antibiotiques, laxatifs, anti-inflammatoires stéroïdiens (corticoïdes) ou non, anti-parasitaires, immunosuppresseurs …
  •  Facteurs neuro-mécaniques digestifs : interventions chirurgicales digestives, ptoses organiques, dyskinésies biliaires, pancréatiques ou coliques, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin …
  •  Facteurs neuropsychiques : les stress, la peur, l’angoisse, la colère …
  •  Le mélangisme alimentaire régulier … liste non exhaustive bien sûr ! 

Quelques conseils pour rétablir un bon microbiote

Microbiote 
 
Voici quelques conseils hygiéniste à suivre pour aider à reconstruire votre microbiote.
 
Éliminez les aliments malsains:
1. le gluten et les produits laitiers 
2. les élevages classiques de viande et de volaille. Privilégiez les volailles et les poissons (plus digestes).
3. Organismes Génétiquement Modifiés (OGM)
4. sucres blancs et féculents
5. les aliments transformés et artificiels ainsi que les agents de conservation
6. les antibiotiques pharmaceutiques autant que possible
7. les antiacides – (es médicaments bloquant l’acidité)
8. les édulcorants artificiels
9. les aliments hyperacides (café, boissons gazeuses ou forte consommation d’alcool)
10. Modifiez les mauvaises bactéries de votre intestin,
en utilisant les antibiotiques naturels tels l’ail, l’extrait de pépins de pamplemousse et l’huile d’origan.
Régénérez votre corps:
11. Mangez des fruits et légumes frais (de préférence issus de jardins biologiques)
13. Intégrez les prébiotiques dans votre alimentation. Les prébiotiques sont des aliments qui contiennent de la fibre dont les probiotiques se nourrissent. Ils activent tout le métabolisme des fonctions intestinales (meilleure absorption, digestion, motricité): la tomate, la carotte, l’ail, l’oignon… les jus frais  de légumes non filtres avant le repas. 
14. Intégrez les super-épices microbiotiques
La cannelle équilibre la glycémie, prévient la résistance à l’insuline et incite le corps à brûler les graisses au lieu de les stocker.
Le curcuma, anti-inflammatoire naturel, protège l’intestin, entretient le microbiote et favorise le fonctionnement cérébral. 
15. Procurez-vous un bon filtre à eau pour éviter le chlore, les produits chimiques , les pesticides et autres toxicités retrouvés dans le eaux du robinet et en bouteilles .( ex: eau alcaline kangen )
17. Bougez et méditez
La méditation permet de diminuer le stress qui acidifie le corps et l’exercice permet d’oxygéner celui-ci — de plus les mouvements aident à évacuer les gaz et décoller les compactions des parois de l’intestin — les plus efficaces sont le jogging, la mini trampoline et le stretching. »
18 . Apporter de bons probiotiques (recommandation le flora svelte)( riche en lactobacillus gasseri 5 milliard unités )
Voir mobyldene ( site nutergia)
19/ réparer muqueuse avec 1 CAC de cumin à jeun 

Dominique Bombino Hygieniste iridologue

Pour des consultation individuelles en hygiénisme et iridologie, vous pouvez nous contacter par le biais du formulaire de contact.

Nous recevons dans la région de Metz, Thionville.

 

Pourquoi manger des produits de saison et bio ?

Pourquoi consommer des fruits et légumes de saison ?

L’intérêt de manger un fruit ou un légume de saison, c’est avant tout de s’impliquer dans un processus d’alimentation durable : manger des fruits qui n’ont pas subi de traitements chimiques, qui n’arrivent pas de l’autre bout de la planète et dont la culture respecte l’environnement. C’est également avoir la certitude que le produit est en totale possession de son potentiel nutritionnel et que les vitamines, les minéraux…

Manger des fruits et légumes de saison c’est mieux pour :

  • le gout !  En effet, les fruits ramassé à maturité et ayant poussés sous un soleil naturel doivent être consommés rapidement. Il conservent ainsi une saveur intacte par rapport à des fruits et légumes qui terminent leur maturité dans une camion ou un entrepôt.
  • La santé ! Manger régulièrement des fruits et légumes est l’un des principaux outil de prévention contre l’apparition de bon nombres de maladie et même le cancer. On sait que les fruits mûris  artificiellement ou cueillis avant leur maturité perdent plus de 70% des vitamines , enzymes et nutriments qu’ils devraient nous apporter, donc 70% de leur efficacité.
  • Le prix ! Bien sûr on parle ici de produits de saison cultivés localement au plus près de chez soi !  Limiter les importations qui nécessitent beaucoup de transport et donc favorisent  aussi les émissions de gaz à effet de serre. Selon le WWF, un fruit importé hors saison par avion consomme 10 à 20 fois plus de pétrole que le même fruit produit localement et acheté en saison.  En 2007, 90 000 tonnes de fraises ont été importées en France depuis l’Andalousie pour une consommation annuelle de 130 000 tonnes, tandis que 40% des surfaces sont cultivées illégalement.

 

Les légumes du mois de mai :

  • – Ail
  • – Asperge blanche
  • – Asperge verte- Fenouil
  • – Laitue romaine
  • – Oignon
  • – Petit oignon blanc
  • – Pomme de terre
  • – Radis
  • – Radis long
  • – Rhubarbe

Fruits du mois de mai :

  • – Avocat
  • – Banane
  • – Citron
  • – Fruit de la passion
  • – Kiwi
  • – Mangue
  • – Melon
  • – Nectarine
  • – Orange
  • – Orange sanguine
  • – Pamplemousse
  • – Papaye
  • – Prune
  • – Pêche
  • – Tomate
  • – Tomate charnue

sources :Fruits et légumes .org