Conseils pour une bonne flore intestinale, un bon microbiote

Nos conseils pour une bonne flore intestinale

La flore intestinale

La flore intestinale est la population bactérienne de l’intestin.
Nous avons un plus grand nombre des bactéries (10 puissance 14) que des cellules dans le corps (10 puissance 13).

Le rôle de la flore intestinale

  • Activité antitoxique plus ou moins équivalente à celle du foie. 
  • Augmente la surface absorbante de la muqueuse intestinale
  • Assure le renouvellement correct de cette même muqueuse,
  • Synthétise la vitamine K (anti- hémorragique), ainsi que la vitamine B12 (anti-anémique).
  • Aurait un rôle important dans la synthèse des autres vitamines du groupe B et des divers acides aminés.
  • Neutralise les sécrétions endogènes, (métabolites et les déchets produits par le corps.)
  •  Achève la dégradation des glucides, des lipides et des protéines
  • A un effet barrière aux bactéries étrangères, aux virus
  •  Les cellules immuno–compétentes d’un intestin sain sont « en permanente vigilance »

 

La flore intestinale compte autour de 400 familles de bactéries différentes! 
C’est le microbiote 

 
bactéries-intestinal-alimentation-drosana

Composition : Quand nous sommes en bonne santé le bol fécal est composé de :

  •  Bactéries anaérobies et lactiques (liées à l’acide lactique et non au lait) , qui constituent « la flore dominante » (plus de 90 % de la flore fécale).
    Les populations minoritaires sont maintenues en respect. C’est l’un des aspects essentiels de cet écosystème intestinal chez l’homme sain. Ces bactéries saines secrètent de H2 02 (eau oxygénée), qui est un antibiotique naturel et des lactases, enzymes indispensables à la bonne digestion des produits laitiers.
  •  Une flore « sous dominante » normale composée de bactéries aérobies » cette fois, dont les espèces sont Escherichia Coli et Entérocoques
  •  Une flore « fluctuante » pathogène, aérobie également, et hélas le plus souvent « banalisée » dans les analyses courantes, car portée par une majorité d’individus apparemment sains…
    Cette population est minoritaire.
  •  Des levures et des champignons, opportunistes également, et pourtant fort répandus à notre époque.. Les flores fongiques (candidoses), s’attaquant à la muqueuse digestive touchent un individu sur deux, et sept individus sur dix pour la muqueuse génitale, (eczémas et autres dermites). Candida et des urticaires, de l’acné rosacé, les oedèmes de Quincke, des conjonctivites, des aphtes, des allergies respiratoires (10% des cas), gastrites (les souches remontent du colon vers l’estomac et résistent aux sucs gastriques pourtant très agressifs !), céphalées et migraines, des fatigues chroniques, et même des tachycardies, des manifestations urinaires ressemblant à des cystites à colibacillose, et enfin des manifestations articulaires, évoquant des gonarthrites (des douleurs des genoux).
  •  Des parasites enfin, des amibes et aussi des flagelles. Un adulte sur trois est porteur de parasites intestinaux, et deux enfants sur trois y trouvent l’origine de leurs troubles de comportement, de leur difficulté de croissance, ou de leur pathologie infectieuse à répétition.

Causes des dégradations intestinales

  •  Raffinage des aliments (céréales, sucre…)
  •  Les cuissons abusives, ou systématiques
  • Mauvaises mastication des aliments crus.
  • Les carences alimentaires
  •  L’insuffisance d’eau 
  •  L’abus des protéines, notamment animales
  •  Consommation régulière de charcuteries, abats, gibiers et crustacés
  •  Les excès lipidiques
  •  Les excès d’excitants (café, thé, cacao, chocolat, guarana, coca…), d’alcool, d’épices, de lait de vache, de sucre industriel, de gluten
  •  Chez l’enfant, l’impossibilité (ou le choix) d’un allaitement au sein
  •  Facteurs médicamenteux : antibiotiques, laxatifs, anti-inflammatoires stéroïdiens (corticoïdes) ou non, anti-parasitaires, immunosuppresseurs …
  •  Facteurs neuro-mécaniques digestifs : interventions chirurgicales digestives, ptoses organiques, dyskinésies biliaires, pancréatiques ou coliques, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin …
  •  Facteurs neuropsychiques : les stress, la peur, l’angoisse, la colère …
  •  Le mélangisme alimentaire régulier … liste non exhaustive bien sûr ! 

Quelques conseils pour rétablir un bon microbiote

Voici quelques conseils hygiéniste à suivre pour aider à reconstruire votre microbiote.
 
Éliminez les aliments malsains:
1. le gluten et les produits laitiers 
2. les élevages classiques de viande et de volaille. Privilégiez les volailles et les poissons (plus digestes).
3. Organismes Génétiquement Modifiés (OGM)
4. sucres blancs et féculents
5. les aliments transformés et artificiels ainsi que les agents de conservation
6. les antibiotiques pharmaceutiques autant que possible
7. les antiacides – (es médicaments bloquant l’acidité)
8. les édulcorants artificiels
9. les aliments hyperacides (café, boissons gazeuses ou forte consommation d’alcool)
10. Modifiez les mauvaises bactéries de votre intestin,
en utilisant les antibiotiques naturels tels l’ail, l’extrait de pépins de pamplemousse et l’huile d’origan.
Régénérez votre corps:
11. Mangez des fruits et légumes frais (de préférence issus de jardins biologiques)
13. Intégrez les prébiotiques dans votre alimentation. Les prébiotiques sont des aliments qui contiennent de la fibre dont les probiotiques se nourrissent. Ils activent tout le métabolisme des fonctions intestinales (meilleure absorption, digestion, motricité): la tomate, la carotte, l’ail, l’oignon… les jus frais  de légumes non filtres avant le repas. 
14. Intégrez les super-épices microbiotiques
La cannelle équilibre la glycémie, prévient la résistance à l’insuline et incite le corps à brûler les graisses au lieu de les stocker.
Le curcuma, anti-inflammatoire naturel, protège l’intestin, entretient le microbiote et favorise le fonctionnement cérébral. 
15. Procurez-vous un bon filtre à eau pour éviter le chlore, les produits chimiques , les pesticides et autres toxicités retrouvés dans le eaux du robinet et en bouteilles .( ex: eau alcaline kangen )
17. Bougez et méditez
La méditation permet de diminuer le stress qui acidifie le corps et l’exercice permet d’oxygéner celui-ci — de plus les mouvements aident à évacuer les gaz et décoller les compactions des parois de l’intestin — les plus efficaces sont le jogging, la mini trampoline et le stretching. »
18 . Apporter de bons probiotiques (recommandation le flora svelte)( riche en lactobacillus gasseri 5 milliard unités )
Voir mobyldene ( site nutergia)
19/ réparer muqueuse avec 1 CAC de cumin à jeun.
 

Dominique Bombino Hygieniste iridologue
Drosana NASSO  bioresonance et alimentation vivante 

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