L’alchimie du sommeil: alimentation et technologie

sommeil et alimentation drosana

Le sommeil, essentiel à notre bien-être est influencé par notre mode de vie.
Une bonne nuit de sommeil commence bien avant de poser la tête sur l’oreiller ; elle est le reflet de nos habitudes quotidiennes.
Saviez-vous que l’état de notre intestin, notre alimentation, et nos habitudes quotidiennes, comme l’usage des écrans, jouent un rôle majeur dans la qualité de notre sommeil ? 

Cet article explore comment une bonne alimentation et une gestion appropriée de l’exposition aux écrans peuvent favoriser un sommeil profond et réparateur, en agissant directement sur les hormones du sommeil comme la mélatonine et la sérotonine.

Quand le sommeil va mal..

Les conséquences d’une mauvaise nuit :
Le manque de sommeil,  peut vraiment perturber notre quotidien. Nous sommes moins concentrés, plus irrités, stressés et notre santé va en pâtir.
Le sommeil est un processus de régénération puissant pour le corps et l’esprit. Pendant que nous dormons, nos cellules se réparent, notre système immunitaire se renforce, et notre cerveau traite les informations de la journée. 

L'importance de l'intestin : Un deuxième cerveau au service du sommeil :

L’intestin, souvent appelé notre « deuxième cerveau », joue un rôle crucial dans la production de mélatonine et de sérotonine, deux hormones essentielles au cycle naturel du sommeil et à notre bien-être émotionnel.
Les aliments transformés, riches en sucres simples et en additifs, peuvent perturber cet équilibre.

Veiller à son bon équilibre est indispensable!

L'alimentation et ses effets sur l'hormone du sommeil

La qualité de notre alimentation impacte directement la production de sérotonine et de mélatonine dans l’intestin. Les aliments transformés, riches en sucres simples et en additifs, peuvent perturber cet équilibre, entraînant des troubles du sommeil. 

Les écrans: ennemis du sommeil

L’exposition à la lumière bleue des écrans de téléphones, tablettes, et ordinateurs le soir, peut tromper notre cerveau en lui faisant croire qu’il fait encore jour…
Cette lumière artificielle stimule, une petite glande dans notre cerveau:  la glande pinéale, qui bloque la production de mélatonine, retardant ainsi notre horloge biologique et rendant l’endormissement plus difficile.

Les conseils pour preparer une bonne nuit

  1. Pour favoriser un sommeil de qualité, considérez votre alimentation, l’environnement de votre chambre, et vos routines du soir.
  2. Manger léger le soir, peut nous aider à trouver le repos plus facilement. En revanche, les repas lourds et riches en sucres peuvent perturber notre sommeil, impactant négativement la sécrétion de mélatonine.
  3. Certains aliments, comme les noix, les bananes,  stimulent naturellement la production de mélatonine. Consommer un fruit ou un encas sucré naturel vers 17 heures peut favoriser un meilleur sommeil.
  4. Une alimentation riche en aliments fermentés, fibres, et nutriments essentiels soutient cet écosystème délicat, favorisant un sommeil réparateur et une humeur équilibré.
  5. Limiter l’utilisation des écrans au moins une heure avant le coucher et privilégier des activités relaxantes peut aider à préparer notre corps et notre esprit au sommeil
  6. Veillez à l’importance d’un environnement confortable, comme un bon matelas et de bons oreillers.
  7. J’aime aussi mettre une bouillotte chaude au niveau du foie, cela favorise la digestion et aide à bien dormir.
  8. Des exercices de respiration et la méditation peuvent également aider à détendre le corps et l’esprit, favorisant une transition douce vers le sommeil.

Conclusion

Se réveiller après une bonne nuit de sommeil, c’est comme appuyer sur le bouton reset : on se sent revigoré, prêt pour une nouvelle journée.
La qualité de notre sommeil est directement liée à notre santé globale et à notre état émotionnel.

Un sommeil de qualité nécessite une approche holistique qui prend en compte notre alimentation, notre exposition aux technologies, et notre santé intestinale. En nourrissant notre corps avec les bons aliments, en gérant notre utilisation des écrans, et en pratiquant des routines de détente, nous pouvons favoriser un environnement propice à un sommeil profond et réparateur.
Faisons de nos nuits un pilier de notre bien-être global.

 Je vous souhaite de merveilleuse nuits… 

 Drosana 

Microbiote et Alimentation : La clé d’une bonne santé digestive

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Rééquilibrer votre microbiote par une alimentation saine et équilibrée : Les clés de la santé optimale

Les bactéries intestinales, jouent un rôle crucial dans nos comportements alimentaires et notre bien-être. Découvrez comment ces micro-organismes influencent nos envies, notre humeur, et comment vous pouvez reprendre le contrôle, pour une vie plus saine.

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Notre flore intestinale : notre microbiote

Le microbiote et les liens avec l'alimentation

Comprendre les subtilités du microbiote – cette communauté de bactéries, levures, et champignons – qui réagit directement à notre régime alimentaire. Des études scientifiques soulignent l’importance cruciale de cette relation pour maintenir un équilibre interne optimal.

L'Influence du microbiote sur les comportements alimentaires

Des recherches mettent en lumière la communication bidirectionnelle entre le microbiote et le cerveau,Les micro-organismes intestinaux peuvent influencer notre cerveau, contrôler nos envies, et même jouer sur notre système de pensées. Découvrez comment les bactéries intestinales peuvent affecter notre appétit et nos pulsions alimentaires.

Solutions pratiques pour un microbiote sain.

Il est important de prendre soin de son microbiote en faisant des choix alimentaires adaptés.
Découvrez l’impact de l’alimentation sur l’équilibre du microbiote et comment certains aliments, tels que les jus frais (extraits avec l’extracteur JAZZ MAX), peuvent contribuer à maintenir un microbiote sain.
Quelles sont les conséquences d’un microbiote déséquilibré…

Les mauvaises habitudes alimentaires peuvent perturber le microbiote et conduire à des pulsions alimentaires néfastes,  à un microbiote en déséquilibre, des troubles gastro-intestinaux jusqu’aux maladies inflammatoires….

Un microbiote déséquilibré a des conséquences sur la santé, notamment dans le contexte de maladies inflammatoires intestinales, l’obésité, le diabète, et d’autres pathologies.

Des exemples cliniques mettent en évidence l’importance cruciale de l’alimentation dans la prévention de ces problèmes de santé

Reprenez le contrôle avec des choix conscients

Décidez de reprendre le contrôle de votre microbiote en faisant des choix conscients pour une alimentation plus physiologique. Apprenez l’importance de l’activité physique, du sommeil, et de la consommation d’aliments vivants.
Je vous propose des stratégies simples pour réharmoniser le microbiote.
Des recommandations pratiques, telles que la consommation d’aliments lacto-fermentés, l’utilisation de psyllium, et des cures de régénération avec de bons probiotics, indispensables pour restaurer l’équilibre intestinal.

Conclusion

La relation entre le microbiote et l’alimentation est une clé pour une santé digestive optimale.
En faisant des choix alimentaires éclairés, en favorisant des habitudes saines, et en comprenant les implications de nos comportements alimentaires sur notre microbiote, nous pouvons prendre le contrôle de notre bien-être. Explorez les solutions adaptées à votre parcours de santé avec Drosana, votre partenaire pour un microbiote équilibré.

Contactez-moi pour des consultations individuelles en hygiénisme, en biorésonance, sur rendez vous ou par Visio, pour  vous guider vers une régénération complète.

Avec régénération Drosana. 

Émotion et Alimentation : Nourrir son Bien-Être Intérieur

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Harmonie Émotionnelle : Nourrir le Corps, Apaiser l'Esprit pour un bien-être général,

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Dans l’effervescente  de la vie moderne, notre bien-être émotionnel joue un rôle central,  notre alimentation a un rôle crucial dans ce bien-être émotionnel.
Notre nourriture impacte notre corps et surtout notre esprit.

Souvent négligé, cet équilibre fragile entre humeur et émotion est profondément lié à notre alimentation quotidienne.
En explorant les méandres du microbiote, les nuances des choix alimentaires et l’influence des produits transformés.
Plongeons dans l’intime relation entre ce que nous mangeons et la danse complexe de nos neurotransmetteurs.

Un voyage où les bactéries intestinales deviennent les chefs d’orchestre de notre humeur, et où la sérotonine, le messager du bonheur, est façonnée par chaque bouchée. Bienvenue dans le monde où la nourriture devient une médecine pour l’esprit.

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Le microbiote Intestinal et l'équilibre émotionnel :

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Voilà un voyage où les bactéries intestinales deviennent les chefs d'orchestre de notre humeur, et où la sérotonine, le messager du bonheur, est façonnée par chaque bouchée. Bienvenue dans le monde où la nourriture devient une médecine pour l'esprit. (suivre le lien )

Notre ventre, souvent appelé notre « deuxième cerveau », héberge un écosystème complexe de bactéries appelé microbiote intestinal. Ce microbiote joue un rôle crucial dans la communication entre l’intestin et le cerveau, influençant directement notre humeur et nos émotions. Un microbiote équilibré est la clé d’une stabilité émotionnelle.

L’Impact des aliments sur le microbiote et les émotions :

Ce que nous mettons dans notre assiette a un impact direct sur la santé de notre microbiote. Les aliments riches en fibres, en probiotiques et en prébiotiques favorisent un environnement intestinal sain, tandis que les aliments transformés et riches en sucres peuvent perturber cet équilibre, entraînant des fluctuations émotionnelles.

Les neurotransmetteurs, la sérotonine et le bien-être émotionnel :

La sérotonine, souvent appelée l’hormone du bonheur, est un neurotransmetteur essentiel à la régulation de l’humeur. Une alimentation équilibrée, riche en acide aminé tryptophane, favorise la production de sérotonine, contribuant ainsi à un état émotionnel stable. Nous pensons que tout se passe dans la tête … mais 80 % de la sérotonine se créer dans l’intestin.

Aliments qui favorisent la production de sérotonine:

Certains aliments sont des alliés naturels pour stimuler la production de sérotonine. Les poissons gras, les noix, les graines, les légumineuses et les fruits, légumes, le persil frais sont des choix judicieux pour soutenir votre bien-être émotionnel. Intégrez-les dans votre alimentation quotidienne.

Aliments nuisibles pour le bien-être émotionnel :

Évitez les pièges alimentaires qui peuvent saboter votre équilibre émotionnel. Les sucres ajoutés, les graisses saturées, les aliments transformés et surtout les aliments riches en gluten qui perturbent le fonctionnement intestinal et ainsi compromettre la production de sérotonine, laissant place à des fluctuations émotionnelles indésirables.

Conseils pratiques pour une alimentation Émotionnellement Équilibrée :

  • Priorisez les aliments riches en nutriments, les jus de légumes frais sont une source de bons nutriments pour nos bonnes bactéries intestinales.
  • Intégrez des repas équilibrés dans votre routine quotidienne.
  • Adoptez une approche consciente de l’alimentation.
  • Hydratez-vous suffisamment surtout en dehors des repas.
  • Considérez des compléments alimentaires appropriés pour renforcer votre microbiote si nécessaire. 
  • La Zeolithe est un précieux allié de notre intestin, faites des cures régulièrement pour purifier votre intestin et maintenir un bon équilibre bactérien. 

    Conclusion :

    L’harmonie émotionnelle est un voyage qui commence dans l’assiette. En nourrissant notre corps avec soin, en cultivant un microbiote sain et en favorisant la production de sérotonine, nous sommes les artisans de notre bien-être émotionnel. Adoptez une approche consciente de l’alimentation, et laissez la sagesse de votre ventre guider votre chemin vers la sérénité.

Liste de jus de légumes frais pour la santé

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Voici une liste des propriétés de jus de légumes frais. atout indispensable pour une bonne santé.

Un jus de légumes est une véritable source de nutriments bio-disponibles (assimilés par nos cellules). Bien utilisé il peut vraiment être un outil thérapeutique comme il l’a été pour nous.

 Lisez cet article 

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Comprendre ce qu’un jus de légumes peut vous apporter et  comment ça marche?

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Quelle différence y a t il entre un extracteur et une centrifugeuse.

 

Oui mais quel appareil choisir ?  Mon expérience de plus de 15 ans de consommation de jus:

Savoir quel appareil choisir: un extracteur ou une centrifugeuse … Lisez ceci !

Quelques propriétés de fruits et légumes communs :

Ail : À utiliser avec parcimonie car potentiellement très irritant. Extrême nettoyant des voies digestives. Antiparasitaire.

Artichaut : Très bon pour le foie, ainsi que toute la famille des chardons. Attention, goût très amer, ce qui le rend très actif sur le foie, donc à doser doucement au début.

Asperges : On peut la manger crue ou la passer en jus. Privilégier l’asperge verte, l’asperge blanche ne contenant presque aucun minéral ni chlorophylle. Le jus pomme /asperge verte est très bon pour la peau, notamment contre l’acné.

Basilic : Recommandé pour les personnes en fatigue chronique. Endrocrino-régulateur : permet de stabiliser tout le système endocrinien, d’apporter repos, quiétude, bien-être, aux personnes en perturbation thyroïdienne.

Betterave : Très bonne pour régénérer le sang et le foie, en stimulant la construction des globules rouges.

Blettes ou bettes : Riches en minéraux. Riche en acide oxalique, donc assiste le péristaltisme intestinal. Les choisir les plus vertes possibles.

Carottes : Excellente base de jus pour le corps entier, notamment pour les intestins. Riches en antioxydants et très reminéralisantes.On peut aussi utiliser les fanes de carottes. S’il n’y avait qu’un légume à garder ce serait la carotte! 

Céleri branche : Riche en minéraux. Particulièrement agréable par temps chaud et, donc, risque de donner froid en hiver. Facilite la fluidification du sang. Parmi les légumes cultivés, c’est la source la plus concentrée de sodium, une véritable bombe minérale à utiliser dans ses jus !

Cerise : Très astringente et très puissante.

Chardon-marie : Très bon pour le foie, ainsi que toute la famille des chardons.

Chénopode blanc : Même famille et donc mêmes principes que les épinards.

Chou, chou-fleur, brocoli et toute la famille des choux : Les gaz causés par le jus de chou ne sont pas liés au produit lui-même, mais à la déséquestration des gaz contenus dans les intestins. Augmenter la dose progressivement, de manière à ce que la quantité de gaz reste acceptable. Les choux ne causent pas de gaz, ils les révèlent.

Citron : On peut, si on le souhaite, en mettre dans tous ses jus, pour son goût tonique, sa charge énergétique, son aspect détoxinant, sa capacité à dissoudre les calcifications et calculs, mais aussi parce que, étant antioxydant, il permet de conserver ses jus plus longtemps. Avec ou sans la peau. Le citron est un astringent majeur, il facilite le mouvement de la lymphe et permet de dépasser beaucoup de crises de détoxination.

Clémentine : Excellente pour les glandes surrénales, sans la peau

Concombre : À utiliser avec la peau. Très reminéralisant. Excellent diurétique. Particulièrement agréable par temps chaud. Véritable remède pour la peau.

Coriandre : Très utilisée pour la détoxination des métaux lourds. Très détoxifiante en jus.

Courgette : Permet de donner du velouté aux jus par temps chaud. reminéralisante et rafraîchissante

Cresson : pour dégager les voies respiratoires

Curcuma : La racine de curcuma fraîche (à trouver en magasin bio) est un régulateur de l’inflammation extrêmement puissant en interne. On peut la passer en jus pour désenflammer ses intestins. Il est intéressant de l’associer au poivre noir  ou au gingembre pour multiplier les effets de la curcumine (principe actif du curcuma).

Épinards : Leur acide oxalique (non toxique cru) favorise le péristaltisme intestinal. Riche en chlorophylle.

Fenouil : Les semences, le bulbe et le feuillage du fenouil (sauvage ou cultivé) sont carminatifs (comme les semences de cumin et de carotte), ce qui signifie qu’il va aider à expulser les gaz des intestins. Ami des intestins ballonnés. Rafraîchissant par temps chaud.

Fenugrec : Intéressant en graines germées, pour nettoyer le foie et le pancréas.

Fruits rouges : Fraises, framboises, myrtilles, groseilles, cassis, etc. Excellents ajouts aux jus, chargés en antioxydants, de la nutrition à l’état pur.

Gingembre : À associer au curcuma, excellent pour la digestion, carminatif.

Graines germées jusqu’au vert : Par exemple l’alfalfa (luzerne) pour obtenir de la verdure bio chez soi. Ne passer en jus que la partie verte, pas la graine. Chargées en minéraux.

Grenade : On peut en faire un jus très astringent, qui aide à faire bouger la lymphe et remplace avantageusement le café. Attention, ce jus est tellement puissant qu’il peut donner la nausée quand on n’en a pas l’habitude.

Herbe de blé : Régénérante, riche en protéines et en minéraux. À faire pousser chez soi. À inclure progressivement car peut provoquer de fortes réactions.

Laitue et autres salades : Riche en minéraux, en principes amers, notamment la scarole et la romaine. Plus une salade est verte, plus elle est riche en minéraux et en principes actifs.
Scarole : Pour régénérer le cortex des glandes surrénales.

Mâche : Riche en fer, en chlorophylle et en oxygène.

Mandarine : Excellente pour les glandes surrénales. sans la peau

Mauve : Adoucissante pour les intestins.

Melon : Très détoxinant et actif sur les reins. À utiliser avec la peau (BIO)

Menthe : Très rafraîchissante.

Oignon : À utiliser avec parcimonie car potentiellement très irritant. Spécifique des voies respiratoires.

Oranges : Forte charge énergétique, aspect détoxinant, capacité à dissoudre les calcifications et calculs. À utiliser sans la peau, car elle contient des huiles essentielles extrêmement puissantes. Le jus d’orange génère des réactions de nettoyage très puissantes : vérifier l’état de ses émonctoires avant d’en consommer de grandes quantités. Les longues cures de jus d’orange pour les personnes déminéralisées et fatiguées sont à proscrire. Toujours tester de petites quantités de jus d’orange pur, puis augmenter les quantités progressivement.

Ortie :  c’est la panacée! Très reminéralisante, très riche en fer et en éléments actifs. Attention au lieu de récolte, car l’ortie concentre les produits actifs de son environnement( pollution ect… ) . Plante majeure de tout le système glandulaire.

Pastèque : Très détoxinante. À utiliser avec la peau (si BIO )  qui contient un précurseur de l’arginine, permettant notamment de lutter contre la fonte musculaire chez les personnes âgées. Très régénérante pour la sphère rénale.

Pêche, brugnon, nectarine : Fruits très doux, à inclure  (attention aux noyaux dans l’extracteur)

Persil : Fluidifiant sanguin, à prendre avec modération, notamment pour les femmes qui ont des règles trop abondantes. Recommandé pour les personnes en fatigue chronique.

Piment : À utiliser avec parcimonie car potentiellement très irritant. Très actif sur la sphère digestive. Antiparasitaire majeur. Vasodilatateur : augmente les échanges immunitaires et nutritifs dans le corps.

Pissenlit : Comme toutes les plantes amères, très bon pour le foie. ( feuilles et racines)

Plantain : Efficace pour aider à faire circuler la lymphe.

Poireau : À utiliser avec parcimonie car potentiellement très irritant. Voir oignon.

Poivron : Le poivron vert est indiqué pour la production de collagène. Excellent jus l’été, proche du gaspacho : poivron rouge, concombre, tomate et verdure.

Pomelos / pamplemousses : Forte charge énergétique, aspect détoxinant, capacité à dissoudre les calcifications et calculs. À utiliser sans la peau, car elle contient des huiles essentielles extrêmement puissantes.

Pommes : Excellente base de jus, notamment avec les ingrédients forts et amers, qu’elle rend faciles à boire grâce à son goût sucré. Leur pectine forme un mucilage qui aide à guérir la membrane intestinale en la désenflammant. Éviter les pommes farineuses, qui ne font pas beaucoup de jus. À inclure généreusement ( sauf pb de glycémie) 

Pommes de terre : Leur potasse est bonne contre les ulcères mais à utiliser avec parcimonie. 

Prêle : Très reminéralisante.

Radis / radis noir : À utiliser avec parcimonie car potentiellement très irritant.

Raisin : Très détoxinant. Principes astringents. Vérifier que les émonctoires fonctionnent bien avant d’en prendre en grande quantité.

Rhubarbe : À utiliser avec modération, car très puissante. Feuilles et tiges. Drainante

Roquette : Pour régénérer les poumons. Remet les toxines en circulation. Assainit le tube digestif.

Tomate : Délicieuse en jus, à inclure largement, que l’été.

Topinambour : À utiliser avec parcimonie. Le jus de topinambour contient des sucres complexes, qui peuvent occasionner beaucoup de flatulences.

Vanille : Donne un goût très agréable aux jus de fruits

Les personnes qui présentent un trouble du métabolisme des sucres, comme le diabète, ne pas dépasser 1/4 de fruits dans les jus, voire moins d’1/4 pour les cas avancés de diabète de type 1. 

Au fur et à mesure que le système se nettoiera et se détoxinera, la capacité du corps à tolérer les sucres des fruits s’améliorera. mais toujours les associer à un jus de légumes pour ralentir l’absorption ou ajouter des graines de chia.

Et pour finir …
Découvrez mon outil favori pour faire tous ces bons jus frais : ICI

Merci pour le travail de recherche de Dominique Bombino et de Norman Walker. 

Bonne régénération et prenez soin de vous !

Drosana

Dominique Bombino est hygiéniste et iridologue, il s’est soigné voilà 15 ans grâce aux jus de légumes entre autre!

www.detoxetbienetre.fr

Nos bactéries intestinales, gèrent-elle nos envies?

Nos bactéries intestinales contrôlent elles nos envies?

Les bactéries intestinales :  notre microbiote (flore intestinale) décident-elle de nos « envies » et notre comportement alimentaires?

Sont-elles en lien avec notre cerveaux .

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S’ils sont capables de capter et d’interpréter les messages qui circulent entre le cerveau et le système digestif, ils participent aussi très activement à déterminer notre appétit, nos envies et comportements alimentaires.

"Faut bien se faire plaisir ..."

Combien de personnes ont l’habitude de dire « Faut bien se faire plaisir » lorsqu’elles consomment une gourmandise bien grasse et sucrée !  ou d’autres qui s’excusent de leurs gourmandises lorsqu’elles peinent à contrôler leurs pulsions alimentaires.
S’arrêter quelques instants afin de comprendre qui dicte réellement ces faux plaisirs ainsi que leurs gourmandises.

Le microbiote

Notre microbiote intestinal est composé d’un ensemble de bactéries et micro-organismes symbiotiques, il s’agit bel et bien d’organe à part entière intégré à notre organisme.

Les microbes jouent un rôle sur nos comportements alimentaires

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Les bactéries intestinales contrôlent notre appétit.

Une idée qui aurait pu paraître folle il y a quelques années, mais qui aujourd’hui est bien réelle.
Si la photo de gauche ci-dessous vous fait envie, posez-vous les bonnes questions…
… Est-ce vraiment vous qui en avez envie ou les signaux que vous envoyez à vos bactéries et ceux qu’elles vous renvoient?
Etes-vous le dindon de la farce?
Hé oui! les industriels l’ont compris depuis longtemps, mais nos bactéries  et autres microbes sont encore plus malins, ils sont même capables de contrôler notre système de pensées!
 
Les experts ont montré que nos communautés microbiennes, regroupées sous le terme de microbiote, sont très sensibles aux aliments que nous avalons.
Elles sont capables de reconnaître mais aussi de synthétiser des hormones neuro-endocrines qui agissent sur le système nerveux.
Il y a une communication à double sens avec les bactéries intestinales, ces bactéries sont en mesure de capter les messages envoyés par le cerveau vers le tractus digestif, l’inverse se produit également.
La communication se fait à double sens.

Capables de produire des neurotransmetteurs tels que le GABA ou des acides aminés comme la tyrosine ou encore le tryptophane, des précurseurs de la dopamine et de la sérotonine, les hormones dites populairement «hormones de l’humeur et du comportement » ces micro-organismes sont dotés de tout ce qu’il faut pour donner des consignes au système nerveux.

L’ alimentation façonne donc notre microbiote,

Celui-ci sait, dans une communication à double sens, jouer sur nos goûts, nos envies, notre appétit, ainsi que nos variations d’humeur et comportements.

On peut alors comprendre que notre appétit, notre sensation de faim, dépendent en grande partie d’un organe entièrement composé de cellules non-humaines, de microbes qui contiennent un ADN génétique 150 fois supérieur à l’ADN génétique humain.

Oui mais …Comment gérer ma flore intestinale?

Réfléchissons avant de nous ruer sur certains aliments, demandons-nous qui a faim?

Qui prend le contrôle?

Plusieurs micro-organismes prennent le contrôle dans le but principal de se multiplier surtout lorsque le microbiote est en déséquilibre, une personne en bonne santé ayant un microbiote harmonieux ne ressent pas de pulsions alimentaires, ni d’envies chroniques et prononcées pour tels ou tels goûts.

L’équilibre de notre microbiote et ses populations microbiennes sont dépendants directement de ce que l’hôte avale au quotidien.

Des bactéries, levures, champignons en prolifération ont des effets pro-inflammatoires (créant l’inflammation sur les muqueuses intestinales), modulent et interagissent avec le système immunitaire, agissent non seulement sur la régulation de l’humeur, du stress mais aussi des pulsions ou fortes envies alimentaires.
En démontrant la corrélation entre la présence de certains métabolites bactériens et l’activité de certaines régions du cerveau associées avec l’appétit et le plaisir, il est démontré qu’il y a une relation en boucle entre des « envies » pour des aliments particuliers, et la composition du microbiote intestinal qui dépend de ce que mange son hôte, et les préférences de l’hôte qui sont influencées par son microbiote intestinal (dans ce cas de présentation l’hôte est l’humain).

D’autres nombreuses études démontrent que les bactéries et micro-organismes intestinaux jouent un rôle de première importance dans les maladies inflammatoires intestinales, mais aussi le cancer, le syndrome métabolique et les maladies de la thyroïde, l’obésité, le diabète et bien d’autres pathologies.

Santé et microbiote ?

De nombreuses études menées mondialement depuis plusieurs années, ont démontré que les personnes souffrant de maladies inflammatoires intestinales, consomment de fortes quantités de sucres et produits gras, de produits animaux, et qu’ils ont avant même leur diagnostic, une alimentation très appauvrie en légumes et en fruits.

Il est démontré aujourd’hui qu’une sous-consommation de ces aliments vitaux pour le microbiote intestinal ainsi que le fonctionnement du système immunitaire, conduit à ces maladies que sont la maladie de Crohn et la rectocolite ulcéreuse hémorragique.
De même, en raison de la prolifération de champignons intestinaux tels que le Candida albicans, ces derniers se nourrissant de sucres y compris de produits gras, de levures alimentaires, de céréales, les malades MICI rencontrent fréquemment des pulsions alimentaires vers des produits gras et sucrés, ainsi que des produits de boulangerie et dérivés.

La consommation de ce type d’aliments les conduit à des comportements alimentaires pulsionnels contrôlés par des champignons intestinaux en prolifération qui réclament leurs nourritures favorites afin de se multiplier et poursuivre leur prolifération.

Oui mais il faut bien se faire plaisir ...

C’est une phrase souvent lue ou entendue. 

Faire plaisir à des bactéries devenues pathogènes, des champignons envahissants, qui se bataillent dans nos intestins et reclament leurs nourritures , comme tout peuple immigrant le ferait dans le monde des humains,  provoquant des crises inflammatoires, des manifestations d’allergies et intolérances alimentaires, des douleurs de toutes sortes et de plus en plus nombreuses plus ils prolifèrent.

 

Les industriels ont compris depuis longtemps: les aliments transformés, additifs, sucres sous toutes formes, chimies, produits sucrés, gras, surconsommation de produits salés, tout ceci déséquilibre le microbiote humain en nourrissant les bactéries pas amies.

 

Le système immunitaire, les maladies gastro-intestinales sont de plus en plus fréquentes, les allergies et intolérances touchent de plus en plus de personnes, ce n’est ni du plaisir réel ni de la gourmandise, mais simplement des envies manipulées.

 

En consciente après lecture de ces lignes, le choix de décider fermement que vous reprenez le contrôle et les commandes ou le choix d’être des victimes consentantes.

Comment reprendre le contrôle de son ventre de sa vie ...

Pour reprendre votre contrôle, il faut déjà le décider et commencer par s’alimenter différemment, de façon plus physiologique, un peu d’activité physique douce.
 Mangez bougez, Cnsommez des fruits et légumes…
S’alimenter de façon réellement saine, respecter également les rythmes de sommeil; cela contribuera peu à peu à rééquilibrer le microbiote.
 

Les SOLUTIONS

Boire des jus FRAIS extraits en extracteur ( JAZZ MAX) permet d’apporter, outre les vitamines, minéraux et ENZYMES un excellent apport  alcalins.
Ces bactéries « nocives » se developpent sur un terrain acide.
Au départ, elle sont là pour nous aider car elles se nourrissent de tous ces aliments  toxiques et non  physiologiques que nous ingérons tous les jours et que note corps n’arrive pas à éliminer.

Sauf qu’elles se développent rapidement, par trop de nourriture et qu’elles prennent le dessus sur la flore amie.

Ces jus alcalins vont modifier peu à peu notre équilibre sanguin acido – basique et ce « petit peuple » ne  s’y trouvera plus bien. Peu à peu il vont s’éliminer d’eux même.
Apporter chaque jours des aliments lacto-fermentés 
Prendre  du psyllium, par son effet mécanique, il contribuera en douceur à nous débarrasser peu à peu de ces bactéries pas amies !
Une cure d’immaxis  aidera l’intestin à se reparer.
Pour des consultation individuelles en hygiénisme et iridologie, vous pouvez nous contacter par le bias du formulaire de contact.

Nous recevons dans la région de Metz, Thionville.

Bonne régénération 
Drosana 
 

Conseils pour une bonne flore intestinale, un bon microbiote

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Nos conseils pour une bonne flore intestinale

La flore intestinale

La flore intestinale est la population bactérienne de l’intestin.
Nous avons un plus grand nombre des bactéries (10 puissance 14) que des cellules dans le corps (10 puissance 13).

Le rôle de la flore intestinale

  • Activité antitoxique plus ou moins équivalente à celle du foie. 
  • Augmente la surface absorbante de la muqueuse intestinale
  • Assure le renouvellement correct de cette même muqueuse,
  • Synthétise la vitamine K (anti- hémorragique), ainsi que la vitamine B12 (anti-anémique).
  • Aurait un rôle important dans la synthèse des autres vitamines du groupe B et des divers acides aminés.
  • Neutralise les sécrétions endogènes, (métabolites et les déchets produits par le corps.)
  •  Achève la dégradation des glucides, des lipides et des protéines
  • A un effet barrière aux bactéries étrangères, aux virus
  •  Les cellules immuno–compétentes d’un intestin sain sont « en permanente vigilance »

 

La flore intestinale compte autour de 400 familles de bactéries différentes! 
C’est le microbiote 

 
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Composition : Quand nous sommes en bonne santé le bol fécal est composé de :

  •  Bactéries anaérobies et lactiques (liées à l’acide lactique et non au lait) , qui constituent « la flore dominante » (plus de 90 % de la flore fécale).
    Les populations minoritaires sont maintenues en respect. C’est l’un des aspects essentiels de cet écosystème intestinal chez l’homme sain. Ces bactéries saines secrètent de H2 02 (eau oxygénée), qui est un antibiotique naturel et des lactases, enzymes indispensables à la bonne digestion des produits laitiers.
  •  Une flore « sous dominante » normale composée de bactéries aérobies » cette fois, dont les espèces sont Escherichia Coli et Entérocoques
  •  Une flore « fluctuante » pathogène, aérobie également, et hélas le plus souvent « banalisée » dans les analyses courantes, car portée par une majorité d’individus apparemment sains…
    Cette population est minoritaire.
  •  Des levures et des champignons, opportunistes également, et pourtant fort répandus à notre époque.. Les flores fongiques (candidoses), s’attaquant à la muqueuse digestive touchent un individu sur deux, et sept individus sur dix pour la muqueuse génitale, (eczémas et autres dermites). Candida et des urticaires, de l’acné rosacé, les oedèmes de Quincke, des conjonctivites, des aphtes, des allergies respiratoires (10% des cas), gastrites (les souches remontent du colon vers l’estomac et résistent aux sucs gastriques pourtant très agressifs !), céphalées et migraines, des fatigues chroniques, et même des tachycardies, des manifestations urinaires ressemblant à des cystites à colibacillose, et enfin des manifestations articulaires, évoquant des gonarthrites (des douleurs des genoux).
  •  Des parasites enfin, des amibes et aussi des flagelles. Un adulte sur trois est porteur de parasites intestinaux, et deux enfants sur trois y trouvent l’origine de leurs troubles de comportement, de leur difficulté de croissance, ou de leur pathologie infectieuse à répétition.

Causes des dégradations intestinales

  •  Raffinage des aliments (céréales, sucre…)
  •  Les cuissons abusives, ou systématiques
  • Mauvaises mastication des aliments crus.
  • Les carences alimentaires
  •  L’insuffisance d’eau 
  •  L’abus des protéines, notamment animales
  •  Consommation régulière de charcuteries, abats, gibiers et crustacés
  •  Les excès lipidiques
  •  Les excès d’excitants (café, thé, cacao, chocolat, guarana, coca…), d’alcool, d’épices, de lait de vache, de sucre industriel, de gluten
  •  Chez l’enfant, l’impossibilité (ou le choix) d’un allaitement au sein
  •  Facteurs médicamenteux : antibiotiques, laxatifs, anti-inflammatoires stéroïdiens (corticoïdes) ou non, anti-parasitaires, immunosuppresseurs …
  •  Facteurs neuro-mécaniques digestifs : interventions chirurgicales digestives, ptoses organiques, dyskinésies biliaires, pancréatiques ou coliques, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin …
  •  Facteurs neuropsychiques : les stress, la peur, l’angoisse, la colère …
  •  Le mélangisme alimentaire régulier … liste non exhaustive bien sûr ! 

Quelques conseils pour rétablir un bon microbiote

Voici quelques conseils hygiéniste à suivre pour aider à reconstruire votre microbiote.
 
Éliminez les aliments malsains:
1. le gluten et les produits laitiers 
2. les élevages classiques de viande et de volaille. Privilégiez les volailles et les poissons (plus digestes).
3. Organismes Génétiquement Modifiés (OGM)
4. sucres blancs et féculents
5. les aliments transformés et artificiels ainsi que les agents de conservation
6. les antibiotiques pharmaceutiques autant que possible
7. les antiacides – (es médicaments bloquant l’acidité)
8. les édulcorants artificiels
9. les aliments hyperacides (café, boissons gazeuses ou forte consommation d’alcool)
10. Modifiez les mauvaises bactéries de votre intestin,
en utilisant les antibiotiques naturels tels l’ail, l’extrait de pépins de pamplemousse et l’huile d’origan.
Régénérez votre corps:
11. Mangez des fruits et légumes frais (de préférence issus de jardins biologiques)
13. Intégrez les prébiotiques dans votre alimentation. Les prébiotiques sont des aliments qui contiennent de la fibre dont les probiotiques se nourrissent. Ils activent tout le métabolisme des fonctions intestinales (meilleure absorption, digestion, motricité): la tomate, la carotte, l’ail, l’oignon… les jus frais  de légumes non filtres avant le repas. 
14. Intégrez les super-épices microbiotiques
La cannelle équilibre la glycémie, prévient la résistance à l’insuline et incite le corps à brûler les graisses au lieu de les stocker.
Le curcuma, anti-inflammatoire naturel, protège l’intestin, entretient le microbiote et favorise le fonctionnement cérébral. 
15. Procurez-vous un bon filtre à eau pour éviter le chlore, les produits chimiques , les pesticides et autres toxicités retrouvés dans le eaux du robinet et en bouteilles .( ex: eau alcaline kangen )
17. Bougez et méditez
La méditation permet de diminuer le stress qui acidifie le corps et l’exercice permet d’oxygéner celui-ci — de plus les mouvements aident à évacuer les gaz et décoller les compactions des parois de l’intestin — les plus efficaces sont le jogging, la mini trampoline et le stretching. »
18 . Apporter de bons probiotiques (recommandation le flora svelte)( riche en lactobacillus gasseri 5 milliard unités )
Voir mobyldene ( site nutergia)
19/ réparer muqueuse avec 1 CAC de cumin à jeun.
 

Dominique Bombino Hygieniste iridologue
Drosana NASSO  bioresonance et alimentation vivante 

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